Titre: Gone T.6 : La Lumière
Auteur: Michael Grant
Date de publication: 2013
Editeur: Pocket Jeunesse
Genre: Science-fiction, Fantastique, Histoire d'amour, Littérature Jeunesse
Résumé
"La fin de la partie approche..."
Tous les enfants de la Zone le savent. Mais peut-on encore parler d'enfants? Cela fait maintenant un an que les adultes ont disparus et que les habitants de la Zone sont livrés à eux-mêmes : épidémie, famine, peur, manipulation, bataille... mais leur pire ennemi, le Gaïaphage est parvenu à s'incarner en Gaia, la fille de Diana et Caine. Son pouvoir ne fait que grandir alors que la présence du petit Pete se fait de plus en plus incertaine... Le dénouement s'annonce, mais qu'adviendra des héros de la Zone ?
Tous les enfants de la Zone le savent. Mais peut-on encore parler d'enfants? Cela fait maintenant un an que les adultes ont disparus et que les habitants de la Zone sont livrés à eux-mêmes : épidémie, famine, peur, manipulation, bataille... mais leur pire ennemi, le Gaïaphage est parvenu à s'incarner en Gaia, la fille de Diana et Caine. Son pouvoir ne fait que grandir alors que la présence du petit Pete se fait de plus en plus incertaine... Le dénouement s'annonce, mais qu'adviendra des héros de la Zone ?
Mon avis
Que dire ? Gone est vraiment devenu une référence à mes yeux. L'une des rares sagas au niveau excellent mais surtout constant au fil des tomes ! Surtout qu'on ne parle pas d'une duologie, mais de 6 vrais bouquins ! Comme toujours les personnages sont si nombreux et uniques, attachants, à la fois admirables et détestables, que je ne peux que tirer mon chapeau à Michael Grant. Et puis le dénouement pour Caine... pas de spoil ;)
Dans ce sixième tome, on pourrait penser qu'après les cinq premiers on s'attend à la fin, et dans un sens oui, mais il y a tellement de nouveaux rebondissement... Comme toujours il y a des morts qu'on regrette, mais c'est aussi ce qui m'a plu : personne n'est épargné, les "gentils" aussi meurent. J'ai ressenti un grand vide en tournant la dernière page, cinq ans après avoir commencé le premier tome. Ça fait bizarre de se dire que c'est fini... S'il fallait une énième preuve de la qualité de cette saga, la voilà : c'est l'une des première fois où je me sens vraiment nostalgique à la fin. Ça a beau ne pas être de la grande littérature philosophique, j'ai réellement l'impression que cette lecture m'a enrichie.
Dans ce sixième tome, on pourrait penser qu'après les cinq premiers on s'attend à la fin, et dans un sens oui, mais il y a tellement de nouveaux rebondissement... Comme toujours il y a des morts qu'on regrette, mais c'est aussi ce qui m'a plu : personne n'est épargné, les "gentils" aussi meurent. J'ai ressenti un grand vide en tournant la dernière page, cinq ans après avoir commencé le premier tome. Ça fait bizarre de se dire que c'est fini... S'il fallait une énième preuve de la qualité de cette saga, la voilà : c'est l'une des première fois où je me sens vraiment nostalgique à la fin. Ça a beau ne pas être de la grande littérature philosophique, j'ai réellement l'impression que cette lecture m'a enrichie.
En bref…
Une série unique en son genre et à lire absolument !
Bonne lecture !
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